Qu’est-ce qui pourrait aider les orthophonistes à se sentir plus compétent·e·s dans leur pratique auprès de la diversité sexuelle et de la pluralité des genres (DSPG) ?
📊 En France, 65% des répondant·e·s à notre sondage étaient « plutôt » ou « tout à fait » intéressé·e·s à l’idée de suivre des formations complémentaires.
Les non-intéressé·e·s (35%) rapportaient surtout ne pas voir de lien direct avec leur pratique, par exemple parce qu’iels ne travaillent pas auprès d’une patientèle trans en harmonisation vocale.
Nous trouvons important de noter que chaque professionnel·le, peu importe sa patientèle, croise vraisemblablement des personnes 2S/LGBTQIA+ dans sa pratique, parfois sans en être conscient·e. Des formations complémentaires constituent un moyen d’apprendre à offrir un accueil et des soins sécuritaires à ces patient·e·s.
🗣 Comment est-ce que cet intérêt des orthophonistes et des stagiaires en orthophonie pour des formations complémentaires se concrétise-t-il ?
Des répondant·e·s expliquent s’être inscrit·e·s à des formations ponctuelles, à des ateliers, voire à des diplômes universitaires – les façons de se former sont variables ! De plus, certain·e·s précisent trouver important que la formation soit assurée par des personnes 2S/LGBTQIA+ ou par un organisme sensible aux questions abordées.
Et vous, quel intérêt voyez-vous à suivre des formations complémentaires ?